La saison des réclamations est officiellement ouverte

L’été est enfin arrivé, même si certains en débattent encore. Pour vous, cela marque le début de la saison de navigation de plaisance. Pour les compagnies d’assurance, cela marque le début de la saison des réclamations de pointe. Ajoutez à cela toutes les ventes de bateaux neufs et vous comprendrez pourquoi ce blog n’a pas connu beaucoup d’action récemment – une tendance qui se poursuivra au cours des prochaines semaines.

Alors, qu’avons-nous vu jusqu’à présent cette année ? Nous avons les habituels bateaux de course qui se cognent, les ratons laveurs qui se jettent, les bateaux à moteur qui s’écrasent et les mâts qui se brisent. Nous avons également constaté une augmentation des réclamations en raison de l’effondrement des bâtiments et des bâches de bateaux par la neige.

Leçons apprises et réapprises

On peut apprendre beaucoup des erreurs et des malheurs des autres et quelques thèmes reviennent cette année. Voici les trois principaux thèmes de 2014 jusqu’à présent.

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  1. Le gréement d’un voilier n’est pas éternel. Un article de blog précédent traite plus en détail du gréement et de l’entretien d’un voilier, mais sachez que vous allez payer pour le gréement de remplacement, que vous ayez une réclamation ou non. Pourquoi attendre d’avoir une réclamation pour mât cassé pour payer pour un nouveau gréement ? CELA INCLUT ÉGALEMENT LE gréement de tige.
  2. Les bâches en polyéthylène bleu de Canadian Tire n’offrent pas de protection contre les 700 lb de neigeaccumulées sur votre bateau. Si vous utilisez ce type de bâche, construisez un cadre rigide pour éviter d’écraser la toile et d’endommager le pare-brise. Les dommages causés par la neige sont couverts, mais vous allez perdre du temps sur l’eau en attendant les réparations. L’hiver a également fait s’effondrer un certain nombre de vieilles granges et de hangars délabrés en raison de la neige. Le stockage dans la vieille grange de votre ami peut être gratuit, mais ce n’est pas la meilleure option. Cela attire également de nombreux animaux.
  3. La nature craint (et mâche). Les ratons laveurs, les souris, les écureuils et autres nuisibles continuent de causer des dommages importants aux bateaux. Ils mangent les coussins, les tuyaux, les voiles, les toiles, les câbles électriques et les tapis. Si vous en voyez un traverser la route, ne faites pas d’écart. Il se pourrait bien qu’il se dirige vers votre bateau.
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Pinnacle

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